
Certains moments dans une vie sont ralentis par les soubresauts de son corps. La carcasse qui a de la difficulté à outre-passer les petites douleurs l’affligeant. Rien de bien grave, juste assez pour drainer une partie de mon énergie.
Mais il y a pire.
Être incapable de venir à bout d’une partition de Max Richter, Written in the Sky.
Une armature à cinq bémols, ça peut aller mais de diviser la mélodie entre les deux mains, pas habitué le pianoteux du dimanche.
En général la main droite s’occupe du thème et la main gauche accompagne.
Mes choix de musiques à pratiquer viennent surtout de ce que j’aime écouter.
Dans ce morceau la ligne mélodique m’attirait. Fallait pas. Mon oreille privilégie la droite. J’eus et j’ai toujours de la difficulté à décommander les deux mains, ici afin de partager les bonnes notes du thème.
Voilà donc les deux principales raisons de mon absence cette dernière quinzaine.
Et cet article aujourd’hui pour me forcer la main ou plutôt les deux mains à s’accorder pour en venir à bout de cette partition.
Quant à mes petits bobos, l’encabannement hivernal me fera du bien.
Lecture à vue de la pièce ci-haut nommée. Hésitations en prime.
Merci René! Déjà bien installé pour la première bordée de neige attendue demain! ❄️☃️
By: Jacques Grégoire on 2025/11/08
at 16 h 48 mi
Un pianissimo très doux, comme des pas sur un petit nuage qui va vous porter gentiment vers une cabane de rêve.
By: rené thibaud on 2025/11/08
at 15 h 32 mi