À force de vouloir la réussite, atteindre les plus hauts sommets tout au long de notre vie, ne rechercherions-nous pas dans nos relations que ceux ou celles ayant eu les mêmes résultats?
Préférer la performance en oubliant l’individu. Ne plus voir l’être derrière l’événement.
Un exemple récent de misanthropie bien placée: Neil Armstrong. Le premier homme à avoir marché sur la lune n’a jamais recherché la gloriole. Tant tellement qu’il n’y aura pas pas de stèle ou monument funéraire, Neil Armstrong sera inhumé en mer.
Comme la famille l’a demandé: «La prochaine fois que vous marcherez dehors par une nuit claire et que vous voyez la Lune qui vous sourit, pensez à Neil Armstrong et faites-lui un clin d’œil.»
Essayons donc de voir l’individu en premier, qu’il soit en haillons sur un banc public ou en scaphandre sur la lune.
Cela vaut aussi dans le sens contraire, cessons de nous draper dans le faste de nos réussites, de nos lubies qu’elles soient réelles ou non.
Il faut apprivoiser nos moments de solitudes, ne pas en faire un terreau fertile pour la haine de la vie, celle que certains nous arrachent quand leur mal de vivre tourne à la violence.
Ben voilà! Assez pontifié pour aujourd’hui
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Un article sur Houellebecq et ses presque semblables selon Chantal Guy du journal la Presse.
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